jeudi 26 avril 2012

Iran: Un sénateur Américain parle de frappes unilatérales.

Annonce publiée sur " Le Figaro " qui nous rappelle que la volonté américaine et occidentale dont la France plus particulièrement qui a justifiée son attaque en Libye par l'interventionnisme de notre entarté de service BHL, le tout pouvant être aisément compris grâce à ce graphique, afin de pallier au manque de pétrole ainsi qu'a l'effondrement économique, est d'entrer au moment le plus opportun en conflit armé contre l'Iran . La stratégie militaire est déjà en place, le détroit d'Ormuz est un emplacement stratégique afin de pouvoir bloquer l'acheminement de pétrole de l'Iran à ses partenaires commerciaux, l'un des 1ers étant la Chine. Ultime sursaut d'une société sur le déclin.



Marco Rubio, un sénateur américain dont le nom est cité comme candidat républicain à la vice-présidence, a jugé aujourd'hui que les États-Unis pourraient avoir recours à des frappes "unilatérales" pour empêcher l'Iran de se doter de la bombe atomique. "Depuis que nous (les Etats-Unis) sommes une super-puissance, nous avons toujours préféré collaborer avec d'autres pays pour atteindre nos objectifs", a déclaré Marco Rubio, sénateur de Floride, lors d'un discours à la Brookings Institution, un centre de réflexion, à Washington.

Mais, "par le passé l'Amérique a déjà agi de manière unilatérale, et je pense qu'elle devrait continuer à le faire lorsque c'est nécessaire", a-t-il souligné, en référence à l'Iran, que les pays occidentaux soupçonnent de travailler à mettre au point une bombe atomique. Téhéran dément, arguant que son programme nucléaire est à des fins civiles.


Marco Rubio, 40 ans, est membre de la commission des Affaires étrangères du Sénat. Son nom revient régulièrement comme possible candidat républicain à la vice-présidence, aux côtés de Mitt Romney, lors de la présidentielle de novembre.
Selon lui, il est crucial de promouvoir la coopération avec d'autres pays à l'heure d'aborder les dossiers iranien et syrien.
Mais "lorsque nous façonnons notre politique régionale (au Moyen-Orient), nous devrions toujours avoir à l'esprit l'objectif essentiel qui est d'empêcher l'Iran de s'aroger une position dominante", a-t-il souligné. Et, "nous devrions également préparer nos alliés, et le monde entier, à la réalité qui est malheureusement que, si toutes les autres options ont échoué, il faudra avoir recours à l'option militaire pour empêcher l'Iran de se doter de l'arme nucléaire", a-t-il conclu. 


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